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05 nov 2018

Comme l’a indiqué le ministre Ouzbek des affaires étrangères, Abdulaziz Kamilov, l’Ouzbékistan souhaite par cette adhésion contribuer aux efforts engagés par le gouvernement pour développer un secteur vitivinicole en pleine mutation et qui fait l’objet d’un plan de développement promu par le président de la République.

Lors d’un échange avec l’ambassadeur d’Ouzbékistan en France, le directeur général de l’OIV s’est félicité de l’entrée de ce pays qui est le plus important producteur de raisins d’Asie centrale et un des leaders en terme d’exportation de raisins frais.
Jean-Marie Aurand a également rappelé que la réception officielle de ce nouveau Membre se ferait lors de l’Assemblée générale de l’OIV à Punta del Este le 23 novembre prochain.La production de raisins en OuzbékistanLa production de raisins frais est principalement concentrée dans le sud du pays, Samarkand, les régions du Surkahandarya et la vallée de Ferghana grâce à la longue période chaude qui s’étend du printemps à l’automne et facilite la production d’une quarantaine de variétés différentes. Les variétés principales utilisées sont le Soyaki et le Bayan-Shirin (mousseux et brandies), le Saperavi et le Rkatsiteli (vins tranquilles) et le May Black, le Rosy Muscat et l’Hindogni (vins de dessert). Pour la consommation en raisins frais les plus populaires sont le Khusayni, le Rizamat, le Kishmish et le Damskiy palchik.Dans le cadre du plan gouvernemental de développement, le vignoble s’est accru atteignant 133000 hectares (2013) pour une production de raisins de près de 1322000 tonnes (2013) et continue sa croissance avec de nouvelles plantations.73% de la production est consommée localement sous forme de raisins frais, 4% est exportée. Le reste, 23% est utilisé pour la production de jus de raisins, de vins et de brandies. La plus grosse entreprise du pays est la compagnie Uzvinsanoat qui regroupe 120 entreprises de transformation dont 83 caves qui utilisent près de 215000 tonnes de raisins.L’Ouzbékistan produit près de 60000 tonnes de raisins secs par an dont la moitié est exportée.

29 oct 2018

Placé sous le haut patronage de l’OIV, ce colloque organisé par la Société des Experts Chimistes de France (SECF) et l’Association des Laboratoires d’œnologie du Portugal (ALABE) s’est focalisé sur les évolutions en matière de techniques d’analyses, de normes et de méthodes permettant et garantissant l’identification et l’authentification des vins et spiritueux.Crédit Photo : ALABE.Les techniques et outils concourant à assurer la traçabilité des produits vinicoles ont pour objectif de mieux préserver l'authenticité et la qualité des vins, notamment vis‐à‐vis des contrefaçons et de la fraude. La traçabilité est envisagée au sens très large et concerne aussi bien la viticulture que le processus de vinification, le produit lui-même, son emballage, et sa distribution. Cette année, l’accent a été particulièrement mis sur l’analyse isotopique du vin, la traçabilité du liège et du verre des bouteilles.Wine Track® 2018 a été une occasion unique d’échanges entre scientifiques, fournisseurs de matériel et d’équipements sur la situation et les moyens actuellement disponibles pour garantir l'authenticité et la traçabilité des produits du secteur et anticiper de nouvelles solutions.L’importance de garantir l’authenticité et la traçabilité des produits vitivinicolesLe coordinateur scientifique de l’OIV, Jean-Claude Ruf, a souligné l’importance de garantir l’authenticité et la traçabilité des produits vitivinicoles dans un marché de plus en plus globalisé. Jean-Claude Ruf, a souligné l’importance de garantir l’authenticité et la traçabilité des produits vitivinicoles. Crédit photo : ALABE.Par ailleurs, il a détaillé les actions que l’OIV a déjà engagées dans ce domaine notamment à travers l’établissement de normes internationales relatives à :

  • La définition des produits.
  • Les pratiques œnologiques et notamment la prise en compte de la sécurité du consommateur et du maintien du caractère authentique des vins et ses qualités organoleptiques
  • Les règles d’étiquetage
  • La mise en place de normes de traçabilité.
  • La mise en place de normes analytiques afin de contrôler cette traçabilité et cette origine.
Jean-Claude Ruf intervient lors d'une table ronde pendant l'évènement.Crédit photo : ALABE.A l’issue du colloque, il est convenu que la prochaine édition de Wine Track® se déroulera dans la région de Champagne (France) en 2019.

29 oct 2018

Ce concours placé sous le patronage de l’OIV est organisé par la Commission Nationale du Pisco présidée par le vice-ministre de la Production, M. Javier Enrique Dávila Quevedo, qui rassemble des représentants des pouvoirs publics et du secteur privé (producteurs et entreprises de Pisco).Avec M. Javier Enrique Dávila Quevedo.Une centaine de producteurs ont présenté plus de 300 échantillons de Pisco à cette compétition qui vise à promouvoir le Pisco et l’image de qualité de l’appellation d’origine dont il bénéficie.Le Pérou compte 520 producteurs de Pisco pour une production annuelle comprise entre 6 et 8 millions de litres.Huit variétés de raisins (Quebranta, Negra Criolla, Mollar, Uvina, Italia, Torontel, Moscatel et Albilla) et les assemblages (acholados) déterminent une grande diversité de Pisco et sont à l’origine de la forte typicité des productions.Cing régions (Lima, Ica, Arequipa, Moquegua et Tacna) produisent du Pisco au Pérou, jusqu’à présent principalement consommé dans le pays mais avec un développement des exportations croissant au cours de dernières années.Rencontres avec des représentants des pouvoirs publicsAu cours de son déplacement, Jean-Marie Aurand a eu un entretien avec le vice-ministre de la Production, M. Javier Enrique Dávila Quevedo, puis avec le ministre Raúl Pérez Reyes. Ceux-ci ont confirmé l’attachement de leur pays à l’OIV et se sont félicités de la qualité des relations entretenues da part et d’autre.Avec le ministre Raúl Pérez Reyes.Outre ces entretiens, plusieurs rencontres avec des représentants des pouvoirs publics : Ministère des Relations Extérieures, Institut National de la Défense de la Concurrence et de Protection de la Propriété Intellectuelle (INDECOPI), Commission de Promotion du Pérou pour les exportations et le Tourisme (Promperú) ainsi que du secteur privé : Société Nationale des Industries (Comité Vitivinicole) ont permis au directeur général de l’OIV de mieux expliquer le rôle et les missions de l’Organisation et de répondre aux différentes questions sur les grandes tendances du marché des vins et spiritueux.Avec le directeur et président de « Signos Distintivos del INDECOPI », Ray Meloni.

28 oct 2018

Avec 282 millions d’hectolitres (Miohl), la production vitivinicole 2018 est l'une des plus hautes depuis 2000.

  • En Europe : l’Italie (48,5 Miohl), la France (46,4 Miohl) et l’Espagne (40,9 Miohl) enregistrent des niveaux de production très élevés. L’Allemagne (9,8 Miohl), la Roumanie (5,2 Miohl), la Hongrie (3,4 Miohl) et l’Autriche (3,0 Miohl) prévoient aussi des récoltes dépassant leur moyenne quinquénale. Le Portugal (5,3 Miohl) et la Grèce (2,2 Miohl) sont les seuls pays dont la production baisse par rapport à 2017.
  • Depuis trois ans le niveau de production des Etats-Unis (23,9 Miohl) est stable
  • En Afrique du Sud la sécheresse a fortement impacté la production 2018 (9,5 Miohl)
  • En Amérique du Sud les niveaux de production sont très élevés. En Argentine (14,5 Miohl) la production vinifiée augmente de 23% par rapport à l’année précédente et au Chili (12,9 Miohl) elle croit de 36%. Le Brésil (3,0 Miohl) atteint un niveau élevé, même si sa production baisse par rapport à la très forte production 2017
  • La production de vin australienne (12,5 Miohl) diminue par rapport cela de l’année précédente et la production de la Nouvelle-Zélande (3,0 Miohl) reste à un très haut niveau.
Communiqué de presse complet

24 oct 2018

Depuis l’adhésion de l’Azerbaïdjan à l’OIV en 2013, les relations se sont renforcées au plus haut niveau entre ce pays de tradition viticole millénaire et l’OIV. Dans ce cadre, le directeur général de l’Organisation a reçu le ministre azerbaïdjanais de l’Agriculture à la tête d’une délégation de producteurs venus présenter leurs vins à la presse et aux professionnels du secteur.Jean-Marie Aurand s’est félicité de la coopération entre l’Azerbaïdjan et l’OIV. Le directeur général a souligné que l’OIV était intéressée par l’amplification de la coopération avec l’Azerbaïdjan et des échanges techniques et scientifiques avec les experts azerbaidjanais lors des réunions de l’OIV.« Le développement de la filière viti-vinicole est l'un de nos objectifs principaux. Le président azerbaïdjanais Ilham Aliyev attache une importance particulière à ce domaine. Un programme d'État sur le développement de la viticulture a été adopté en Azerbaïdjan », a fait savoir M. Inam Karimov, ministre azerbaïdjanais de l’Agriculture, lors de son entretien avec le directeur général de l’OIV. Le directeur de l'OIV avec M. Inam Karimov.M. Inam Karimov a abordé l’importance du renforcement de la coopération étroite et de la communication avec les experts de l’OIV, du soutien au développement de la filière viti-vinicole, de la participation d’étudiants azerbaïdjanais à différents niveaux d'enseignement et aux bourses offertes par l'OIV.A l’occasion de la dégustation, M. Elchin Matadov, président de l’association des producteurs et exportateurs de vins a rappelé l’histoire de la viticulture de son pays et son développement actuel avec des plantations annuelles de 500 à 800 hectares.

22 oct 2018

Lancé en 2008, le programme Wine in Moderation constituait une étape primordiale pour le secteur vitivinicole. Pour la première fois, tous les acteurs pertinents au sein du secteur vitivinicole européen s’étaient réunis pour élaborer un programme complet visant à promouvoir une consommation de vin responsable et modérée.La mission de WIM est d’offrir un cadre de référence commun qui réunit l’ensemble des acteurs de la chaîne de valeur internationale du vin et qui stimule leur contribution dans la lutte contre les méfaits liés à la consommation excessive d’alcool.Après 10 ans d’existence, les responsables de WIM ont souhaité à l’occasion de ces journées faire un bilan des actions passées et surtout réfléchir sur les stratégies que Wine in Moderation pourrait entreprendre dans l’avenir. Plus de 50 participants du monde professionnel, de scientifiques et de représentant du secteur vitivinicole ont participé à ces deux journées qui marquaient le début d’une réflexion et d’un travail stratégique et prospectif plus approfondi.Le directeur de l’OIV, Jean-Marie Aurand, accompagné de la vice-présidente de l’OIV, Monika Christmann et du Coordinateur scientifique de l’OIV Jean-Claude Ruf, a souligné l’importance du rôle et la contribution du programme Wine in Moderation-Art de Vivre dans la promotion de la responsabilité sociale du secteur vitivinicole et s’est réjoui de l’apport de WIM dans le cadre de sa participation en qualité d’observateur à l’OIV depuis 2015.

14 oct 2018

La 36ème Conférence internationale de l’AIDV autour des défis du changement climatiqueAutour de cette thématique, la 36ème Conférence internationale de l’AIDV a permis de réunir à Napa près de 150 juristes du monde entier pour en appréhender les conséquences juridiquesDu 1 au 3 octobre 2018, l’Association Internationale des Juristes du droit de la Vigne et du Vin a tenu sa Conférence internationale à Napa en s’intéressant à la nécessaire évolution du droit vitivinicole notamment face aux défis du changement climatique. Lors de l’ouverture des deux sessions consacrées à ces questions, le directeur général de l’OIV a pu rappeler comment cet enjeu est devenu prioritaire parmi les axes stratégiques développés par l’OIV pour prendre en considération les objectifs environnementaux, sociétaux et économiques de la filière dans une approche holistique visant à assurer la durabilité du secteur vitivinicole.Autour de ce thème choisi par les hôtes californiens de la Conférence, les communications et échanges ont été riches, notamment grâce aux interventions d’universitaires de Stanford ou de Berkeley mais également grâce à celle de professionnels permettant de mieux comprendre la mise en place de la responsabilité sociale et environnementale des entreprises du secteur, comme celle mise en place par la filière Champagne en France ou E. & J. Gallo en Californie.La civilisation du vin et sa consommation raisonnéeLors de ce voyage, Jean-Marie Aurand s’est rendu à Modesto où il a visité le siège et les imposantes installations de Gallo et s’est entretenu avec Ernest Gallo. L’occasion de rappeler le 25ème anniversaire de la déclaration faite par son grand-père Ernest Gallo [EN] lors de l’Assemblée de l’OIV à San Francisco en 1993 visant à promouvoir la civilisation du vin et sa consommation raisonnée et qui avait permis la création de la Commission « vin et santé » au sein de l’OIV grâce au soutien américain.Le directeur général de l'OIV avec Ernest Gallo.La mise en place des normes analytiques élaborées par l’OIVLe directeur général de l’OIV a également pu constater l’importance et la mise en place des normes analytiques élaborées par l’OIV lors de la visite du laboratoire ETS. Son fondateur Gordon Burns a présenté l’unité d’analyse microbiologique qui permet de détecter en amont les risques de contaminations par des bactéries, levures ou spores indésirables.Rencontre avec des étudiants de la filièreCe déplacement a également été l’occasion de présenter à la CAL POLY, l’université d’état polytechnique de Californie, les grandes tendances économiques du secteur et ses enjeux. Lors de ces échanges avec les étudiants et le responsable du département vigne et vin, le Dr Benoît Lecat, Jean-Marie Aurand est intervenu longuement sur l’environnement social et sociétal qui influe sur le secteur vitivinicole et la nécessité d’assurer une formation adéquate pour ceux qui seront amener à gérer cette filière dans les années à venir.Jean-Marie Aurand présente les grandes tendances économiques du secteur et ses enjeux.

11 oct 2018

Ce déplacement a eu lieu à l’occasion du “7th International Wine Exposition of Helan Mountains East Foothill”, du 12 au 15 septembre 2018.Regina Vanderlinde au “7th International Wine Exposition of Helan Mountains East Foothill”.Regina Vanderlinde a pris part à l’inauguration de l’évènement, dont le thème était « “Brand·Taste·Appreciation », en présence des autorités locales et de M. Cao Kailong, directeur du « Ningxia Grape Industry Development Bureau ». Avec M. Cao Kailong.Dans ce cadre était aussi organisée une exposition de vins de différentes régions chinoises : « The Belt and road Yinchuan exhibition centre ». Par ailleurs, ce déplacement a également été l’occasion pour la présidente de visiter plusieurs caves vitivinicoles de la région. Pendant sa visite en Chine, Regina Vanderlinde a pu retrouver M. Hao Linhai, ancien « Vice Party Secretary of NingXia People ´s Government » et ancien président de l’association des viticulteurs de Ningxia. Ce dernier a reçu le mérite de l’OIV lors du 40ème Congrès Mondial de la Vigne et du Vin en mai 2017, à Sofia (Bulgarie).Avec M. Hao Linhai.La viticulture dans la région de Ningxia connait une expansion très soutenue sous l’impulsion notamment des autorités locales. La production de vin est tournée vers la qualité et la diversité au travers de plus de 180 caves vitivinicoles.Ce dynamisme est à l’image de la vitiviniculture chinoise dans son ensemble qui enregistre un fort développement tant en ce qui concerne la production de raisin de table (1er pays producteur) que la production et la consommation de vin (8ème producteur mondial et 5ème consommateur).

10 oct 2018

Ce pays qui bénéficie d'une tradition viticole millénaire souhaite dynamiser sa filière vigne et vin, notamment dans le cadre de l'axe stratégique agricole développé par le président de la République Noursoultan Nazarbaïev visant à positionner le Kazakhstan comme un acteur mondial dans le domaine de la production biologique.Comme l'a rappelé Jean-Marie Aurand, "après l'adhésion de l'Azerbaïdjan, de l'Arménie et de l'Ouzbékistan, celle du Kazakhstan compléterait le positionnement de l'Asie centrale au sein des pays viticoles de l'OIV en témoignant du renouveau de ces zones viticoles traditionnelles de production de raisins et de vins et de l'émergence de marchés demandeurs de produits de qualité conformes aux normes internationales".

23 Sep 2018

Organisée par le ministère libanais de l’agriculture autour du thème ‘nouvelles stratégies et technologies pour l’industrie libanaise du vin », cet événement a rassemblé à l’université du Saint Esprit de Kaslik (USEK) les principales entreprises du secteur fédérées par l’Union Vinicole du Liban ainsi que plusieurs experts du secteur.Les conférenciers en provenance de différents pays (France, Italie,…) ont apporté un éclairage sur les dernières évolutions dans les domaines techniques et scientifiques mais aussi économiques.Le directeur général de l’OIV et son adjoint ont pris part à cette journée. A cette occasion, Jean-Marie Aurand a souligné que depuis l’adhésion du Liban à l’OIV en 1995, les relations ont toujours été étroites et fructueuses.Depuis une vingtaine d’années la viti-viniculture libanaise connaît un essor remarquable Dès 1997, sur les conseils de l’OIV, l’Union Vitivinicole du Liban a été créée. Dès 2000, le Liban adopte sa loi du vin sur la base a été créé en 2013 l’Institut National de la Vigne et du Vin. Depuis six ans, et sous l’impulsion dynamique du Directeur Général Louis Lahoud, les relations entre l’OIV et le Liban se sont resserrées.Il a également relevé le succès des journées des vins du Liban qui se sont déroulées en 2010 et 2013 à Paris, en 2014 à Berlin, en 2016 et 2017 aux USA et cette année en Suisse à l’initiative du Ministère de l’Agriculture et qui a réuni un large auditoire de spécialistes ayant eu l’opportunité de découvrir sur une journée la diversité et la qualité des productions libanaises, en saluant l’implication du directeur général de l’agriculture, M. Louis Lahoud et le soutien du Ministre de Affaires Etrangères, M. Gebran Bassil, à la tête de la diplomatie libanaise. Lors de cette visite le directeur général de l’OIV a été reçu par le Président de la République le Général Michel Aoun et par le Premier Ministre, M. Saad Hariri qui l’ont assuré du soutien de leur pays aux activités de l’OIV. Jean-Marie Aurand avec :1. Le président de la République, le Général Michel Aoun2. Le premier ministre, M. Saad Hariri.Des rencontres à haut niveau ont également eu lieu avec les ministres de l’Economie, M. Raed Khoury ; de la Justice, M. Salim Jreissati ; de l’information, M. Melhem Riachi et celui du Tourisme, M. Avedis Guidanian, montrant ainsi l’importance que revêt la filière vitivinicole dans ce pays.Jean-Marie Aurand avec:1. Le ministre de l’Economie, M. Raed Khoury2. Le ministre de la Justice, M. Salim Jreissati3. Le ministre de de l’information, M. Melhem Riachi4. Le ministre du Tourisme, M. Avedis Guidanian.Jean-Marie Aurand avec le Ministre de Affaires Etrangères, M. Gebran Bassil.Depuis une vingtaine d’années la viti-viniculture libanaise connaît un essor remarquable avec aujourd’hui près de 50 entreprises viticoles contre huit il y a 20 ans.Le Liban produit environ 80 000 hl de vin par an et exporte la moitié de sa production. Il valorise également ces cépages autochtones tels que l’Obeidy ou le Merweh à fin de retrouver les racines de cette viticulture millénaire.

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