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27 jan 2015

M. Aurand a saisi cette occasion pour se féliciter des excellentes relations qui existent avec les Autorités italiennes et du très haut niveau de participation des experts de la délégation italienne au sein des instances techniques et scientifiques de l’OIV, soulignant qu’une des quatre commissions de l’OIV en charge des questions économiques et juridiques était actuellement présidée par le Prof. Eugenio Pomarici. Le Directeur Général de l’OIV a également salué l’activité déployée au profit de l’Organisation par son prédécesseur, l’italien Federico Castellucci et il a présenté à l’Ambassadeur d’Italie les axes stratégiques qui seront développés dans les cinq prochaines années. S.E. M. Checchia a rappelé l’importance du secteur vitivinicole pour son pays et a assuré le Directeur Général de l’OIV du soutien de l’Italie pour la mise en œuvre de ces orientations stratégiques auxquelles son pays a largement contribué.

22 jan 2015

A l’issue de sa première année de mandat, Jean-Marie Aurand a fait le bilan de 2014, soulignant d’abord que «la famille de l'OIV s'est agrandie puisque nous comptons un nouvel Etat membre : l'Arménie, qui a rejoint l'Organisation après l'Azerbaïdjan en 2013 et l'Inde en 2012. C’est le signe que l'Organisation est attractive et a une bonne image ». Avec le souhait que se concrétisent les négociations pour de futures adhésions en 2015, le directeur général a rappelé que « les Etats-membres représentaient actuellement près de 85% de la production et 80% de la consommation mondiale de vin ». Ensuite, Jean-Marie Aurand s’est félicité du succès du 37ème Congrès Mondial de la Vigne et du Vin, en novembre 2014, à Mendoza, Argentine. « Un congrès mémorable qui a rassemblé plus de 1000 participants au cours duquel plus de 500 communications scientifiques ont été présentées ». Egalement, à cette occasion, l’Assemblée générale a adopté le plan stratégique 2015-2019, véritable feuille de route de l’Organisation pour les 5 ans qui viennent. « Ce plan prend en compte les grandes évolutions du secteur vitivinicole : un marché qui se globalise et s'internationalise de plus en plus, (sur 5 bouteilles de vin consommées dans le monde 2 sont importées) une concurrence accrue, des nouvelles attentes des consommateurs et des citoyens », selon le directeur général. Dans ce contexte « il est important de définir de bonnes pratiques, des règles qui permettent de maintenir la stabilité et la qualité des produits afin d'assurer la loyauté des échanges et de répondre aux attentes du consommateur en matière de qualité du produit, de protection de la santé et de transparence. Par ailleurs, ce plan stratégique intègre les nouveaux enjeux tels que l’impact du changement climatique, ou la promotion d’une vitiviniculture durable. [Plan stratégique 2015-2019] Un autre fait marquant cité par Jean-Marie Aurand concerne «les efforts faits pour améliorer et moderniser le fonctionnement de l'Organisation. Il s’agit, par exemple, de la faculté ouverte aux experts de l'OIV, pour la première fois, de valoriser leurs présentations et leurs travaux chez un éditeur scientifique » [OIV-EDP Sciences], ou encore de l’enrichissement des informations et des présentations des données statistiques du secteur vitivinicoles. Le directeur général de l’OIV a par ailleurs rappelé que 2015 verra l'élection d'un nouveau président de l'Organisation ainsi que de nouveaux présidents des commissions et sous-commissions, à Mayence, en Allemagne où se déroulera le prochain congrès de l'OIV, du 5 au 10 juillet, congrès pour lequel l’appel à communications scientifiques a été lancé et laisse augurer d’un grand succès. [38eme Congrès Mondiale de la Vigne et du Vin]. Il a également annoncé la refonte du site web de l’OIV et la modernisation des systèmes d’information. Jean-Marie Aurand a donné rendez-vous aux experts qui seront présents aux réunions de Paris en avril afin de mettre en œuvre le programme de travail 2015 qui s’annonce riche et dense. Il a souligné la qualité de leur travail et les a remercié pour leur forte implication.

09 jan 2015

Cette accélération est à relier non seulement à la mondialisation de la consommation, mais également à la constante augmentation du nombre de pays producteurs. Dans ce contexte, où se développe une concurrence entre les pays, il est primordial de définir les caractéristiques des produits vitivinicoles et de leurs spécifications, de promouvoir les bonnes pratiques réglementaires afin d’assurer la loyauté des échanges, l’intégrité et la pérennité des différents produits viticoles sur le marché mondial. Il est important de répondre aux attentes des consommateurs en matière de qualité des produits, de protection de la santé et de l’environnement et d’information sur les produits vitivinicoles tout en maintenant un marché mondial du vin durable.L'OIV a une position principale pour fournir aux pays producteurs et consommateurs de vin des informations pour élaborer des règlements vitivinicoles qui minimisent les obstacles au commerce, promeuvent la production durable et protègent les consommateurs. L'OIV doit s'assurer que son travail est basé sur des données scientifiques solides. Par conséquent, une actualisation des résolutions est un aspect important du travail de l'OIV.Les enjeux liés à la culture de la vigne et aux produits qui en sont issus en termes commercial, économique, environnementaux, territoriaux et sociétaux sont considérables. L’OIV doit fournir son expertise et ses conseils en temps opportun sur ces sujets. Le Plan stratégique 2015-2019 a pour ambition de répondre au mieux à ces différentes préoccupations. Il s’inscrit dans la continuité du dernier plan stratégique (2012-2014), durant lequel une soixantaine de recommandations incluant des pratiques œnologiques, des méthodes d’analyse et des recommandations en matière viticole ont été évaluées par une communauté d‘experts internationaux et adoptées par les pays membres. De nouvelles catégories de produits vitivinicoles ainsi que leurs règles de présentation ont été également définies et adoptées.Véritable feuille de route, le plan quinquennal 2015-2019 s’articule autour de cinq axes stratégiques suivants :1-Promouvoir une vitiviniculture durableDans le cadre du développement du vignoble et des évolutions de la viticulture conventionnelle, l’OIV entend promouvoir une viticulture durable. A cette fin, l’OIV prend en compte les défis du changement climatique ; caractérise et évalue les principes et les méthodes de production des raisins, vins et autres produits et analyse leur efficacité économique tout en considérant les pratiques des entreprises en matière de responsabilité sociale. L’OIV veille à protéger et optimiser l’utilisation des ressources naturelles et la durabilité des terroirs viticoles.2-Etablir les règles d’authenticité des produits vitivinicoles et promouvoir les bonnes pratiques réglementairesDans l’objectif de catégoriser les produits vitivinicoles, l’OIV promeut les principes de bonnes pratiques réglementaires et élabore des recommandations en matière de pratiques œnologiques, de méthodes d’analyse. L’OIV définit les formations professionnelles du secteur.3-Appréhender les évolutions du marché et la dynamique de la filièreDans le contexte de la croissance des échanges internationaux dans le secteur vitivinicole et afin de comprendre la dynamique de la filière, l’OIV développe des systèmes d’échange de données et d’analyse statistique et facilite l’identification des tendances des marchés au travers de la chaine de valeur.4-Participer à la sécurité du consommateur et prendre en compte ses attentesSur la base d’évaluation et d’avis scientifiques, l’OIV participe à la sécurité sanitaire des produits vitivinicoles. Elle évalue les technologies innovantes et les aspects physiologiques et nutritionnels liés à la consommation des produits vitivinicoles ainsi que les facteurs socio-comportementaux. L’OIV tend également à assurer la cohérence au niveau de la traçabilité et de l’étiquetage.5-Renforcer la coopération internationale et la gouvernance de l’OIVEn sa qualité d’organisation intergouvernementale, l’OIV favorise la coopération internationale et la participation à ses travaux des Etats et des Observateurs. L’OIV facilite la production scientifique, en la valorisant par une communication adaptée.Ce plan stratégique 2015-2019 est mis en œuvre selon un programme de travail ajustable annuellement qui est développé par le Comité Scientifique et Technique, les différentes Commissions, Sous-commissions et groupes d'experts et adopté par le Comité exécutif.

05 jan 2015

Depuis l’adhésion du Liban en 1996, Serge Hochar a été un acteur majeur pour la rénovation et l’évolution du secteur vitivinicole du Liban en relation étroite avec l’OIV.Chef de la délégation du Liban à l’OIV pendant une quinzaine d’année, il a également été l’un des artisans de la création de la Loi viticole du Liban en 2000, fondateur et Président de l’Union viticole du Liban et plus récemment président de l’Institut de la Vigne et du vin, il a su positionner les vins du Liban sur la scène internationale, ambassadeur infatigable au service d’une passion et d’une vision de la viticulture de son pays.Jean-Marie Aurand, Directeur Général de l’OIV, qui a visité le Château Musar avec Serge Hochar en septembre dernier lui a rendu hommage en soulignant « sa vision philosophique de vins qui resteront un témoignage vivant de sa passion ».

24 déc 2014

La Vice-Présidente de l’OIV, Mme Monika Christmann a souligné l’importance de tous les Etats membres de l’OIV et notamment consommateurs en remettant le Mérite de l’OIV à M. Dirk de Maeseneer (Belgique) qui a pendant 15 ans participé activement aux travaux de l’OIV, notamment durant toute la période de refondation de l’Organisation.M. Alejandro Marianetti (Argentine) a reçu le mérite des mains du Directeur Général de l’OIV, M. Jean-Marie Aurand qui a salué la carrière de l’ingénieur agronome au service de son pays au sein de l’Institut national de Vitivinculture (INV) et aussi au sein de l’OIV et également comme représentant de l’ensemble des collaborateurs de l’Institut pour leur implication dans l’organisation et le succès du Congrès Mondial de la vigne et du vin.M. Yves Bénard, Vice-Président de l’OIV, a distingué son collègue œnologue du Maroc, le Dr. Ahmet Kamal qui participe depuis 34 ans aux activités de l’OIV et a été conseiller à la société d’état de développement agricole et directeur de la société d’état Sincomar qui gère la production, le conditionnement et la distribution de 80 % des vins au Maroc.Enfin avec beaucoup d’émotion, la Présidente de l’OIV a rendu hommage, à titre posthume, à son compatriote argentin, M. Raúl Horacio Guiñazú, ancien Président de l’INV, pour son action nationale et internationale dans le secteur du vin et son rôle déterminant pour la participation active de l’Argentine au sein de l’OIV.

19 déc 2014

Durante un encuentro con el director general de la OIV, recordó la larga tradición vitícola de Bosnia y Herzegovina, país que posee algunas variedades autóctonas (como zilavka y blatina) que forman parte del patrimonio mundial vitícola.Jean-Marie Aurand señaló la importancia que tiene para todo Estado miembro de la OIV una activa participación en los trabajos científicos y técnicos de la misma y recordó que la Organización había reconocido las especificidades vitícolas de Bosnia y Herzegovina cuando, en 2012, entregó el Premio de la OIV al libro Hercegovina Zemlja Vina - Hercegovina Wine Country, de Branimir Martinac.

11 déc 2014

Répondant à l’invitation des professeurs Vasco Boatto – président à l’Université de Padoue et directeur du Centre Universitaire de Conegliano, et Eugenio Pomarici – professeur à l’Université de Naples et par ailleurs président de la Commission « Economie et Droit » de l’OIV, le directeur général de l’OIV s’est rendu au Centre de Formation et Recherche en Viticulture et Œnologie de Conegliano les 9 et 10 décembre 2014.A cette occasion, Jean-Marie Aurand a fait, devant une assemblée réunissant des enseignants chercheurs, des étudiants et des professionnels du secteur vitivinicole, une présentation de l’OIV et des principaux enjeux du secteur vitivinicole dans les années à venir.Le Centre de Formation et de Recherche de Conegliano a été fondé en 1876 (les plus ancien d’Italie). Il assure une formation professionnelle et universitaire dans les secteurs de la Viticulture et de l’Œnologie, ainsi qu’une activité de recherche dans ces différents domaines.Le déplacement s’est prolongé par des discussions avec les présidents et directeurs des « Consorzio » de tutelle du Prosecco et la visite d’entreprises du secteur. Ces rencontres ont donné lieu à divers échanges sur la situation du marché du vin et ses évolutions.

10 déc 2014

Cette conférence a été coordonnée et organisée par VIMAC (Fondation vigne, environnement et consommateurs), avec la collaboration de l’Association vinicole catalane, de l’Institut du Cava, du département de l’Agriculture, de la pêche, de l’alimentation et du milieu naturel du gouvernement de Catalogne, de l’INCAVI (Institut catalan de la vigne et du vin) et de divers sponsors et organisations patronales.En représentation de l’OIV, le chef de l’unité Viticulture, M. Mario de la Fuente, a présenté les actions menées dans le domaine de la durabilité vitivinicole au sein des différentes commissions et groupes d’experts de l’Organisation, basées fondamentalement sur cinq axes :changement climatique, empreinte hydrique, réduction des pesticides en viticulture et normalisation des LMR, recommandations sur les échanges de matériel végétal et définition de principes généraux pour la viticulture durable, en se basant sur les aspects environnementaux, sociaux et économiques. Mario de la Fuente pendant son intervention.Les exposés techniques ont mis l’accent sur certaines questions de grande importance au regard de la durabilité, telles que la réduction de l’utilisation du cuivre, les applications de silices sur les vignes et la recherche d’alternatives aux produits phytosanitaires dans le vignoble, l’emploi de matériaux durables et recyclables dans le secteur vitivinicole, les méthodes de calcul et les indicateurs de durabilité (projet ECO-PROWINE) ou l’utilisation de machines agricoles basées sur des combustibles alternatifs, tel que le biodiesel, la biomasse ou l’hydrogène. De même, les administrations présentes ont rappelé le compromis souscrit en matière de réduction des gaz à effet de serre pour 2020 (Bureau espagnol du changement climatique, OECC) et ont présenté l’état d’avancement de la nouvelle réglementation de l’UE sur la production biologique.Au sein d’un débat ouvert, des experts en viticulture, environnement et écologie ont participé à cet important forum, durant lequel il a été souligné que la durabilité du vignoble se base sur une gestion raisonnable de la production, de l’environnement, du rendement économique et des aspects sociaux, autant de questions qui concernent aussi bien les consommateurs que le secteur. Dans le cadre du défi considérable que constitue l’obtention d’un nouveau système productif durable, l’implication de l’ensemble du secteur vitivinicole (producteurs, entreprises, administrations, etc.) s’avère nécessaire. En ce sens, le cadre juridique et les recommandations présentes et futures devront être concrètes, flexibles et globales afin de pouvoir apporter des réponses raisonnables au secteur vitivinicole.En définitive, EcoSostenibleWine a mise en évidence que le secteur vitivinicole est à même d’assumer ce défi et de satisfaire aux exigences des consommateurs, chaque jour davantage préoccupés par la durabilité et tout ce qu’elle implique, en réclamant des produits en accord avec ces principes.

08 déc 2014

Celui-ci a souligné l’intérêt porté par l’Azerbaïdjan à l’OIV et la volonté de son pays de s’impliquer pleinement dans les travaux de l’Organisation.S. E. M. Elchin Amirbayov a par ailleurs confirmé que le Festival de la Vigne et du Vin aurait lieu à nouveau à Gandja en octobre 2015 et serait l’occasion d’inaugurer le Musée de la Vigne et du Vin.Jean-Marie Aurand s’est félicité de la qualité des relations avec les autorités azerbaidjanaises, ainsi que de la volonté de celles-ci de renforcer leur présence dans les différentes instances de travail de l’Organisation. Il a confirmé qu’il se rendrait au Festival de Gandja, au cours duquel sera notamment organisée une session de formation à la dégustation de vins, selon le cahier de charges de l’OIV.Enfin, l’ambassadeur a indiqué le souhait de son pays d’accueillir dans un proche avenir le Congrès de l’OIV.

02 déc 2014

S.E. M. Regazzoni s’est félicité de cette implication qui témoigne du renouveau de la viticulture suisse dont les succès internationaux permettent de valoriser des vignobles constituant des paysages uniques dont certains reconnus au Patrimoine de l’Unesco comme les terrasses de Lavaux. En confirmant le soutien de son pays aux travaux de l’OIV, l’Ambassadeur de Suisse a également rappelé que la Suisse était l’hôte d’une fête des vignerons unique au monde qui célèbre à Vevey, 4 à 5 fois par siècle, le travail de la vigne et du vin. M. Aurand a indiqué que cette fête avait également accueilli le Congrès de l’OIV en 1955 et 1977 et a formulé des vœux pour que cela puisse être réédité en 2019, lors de la prochaine édition.

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