29 déc 2019
Le Centre de Ressources Biologiques de la Vigne (CRB-Vigne), unité expérimentale INRA à Montpellier, Initiée il y a 140 ans et constituée aujourd’hui de 8 000 accessions provenant de tous les pays viticoles, cette collection préserve une grande diversité de cépages mais aussi de porte-greffes, d’hybrides et d’espèces apparentées à Vitis vinifera. Elle est entièrement dédiée à la conservation, la caractérisation et la valorisation des ressources génétiques de la vigne. Dans le cadre du travail développé par le groupe d’experts de l’OIV : GENET - Ressources génétiques et sélection de la vigne, appartenant à la commission de Viticulture (connaître l’Organigramme du Comité scientifique et technique de l’OIV), des représentants de l’Organisation ont visité le Centre de Ressources Biologiques de la Vigne (CRB-Vigne) de Vassal-Montpellier.Le directeur général de l’OIV, Pau Roca, le président du groupe GENET, Luigi Bavaresco et le chef de l’Unité de Viticulture de l’OIV, Alejandro Fuentes Espinoza, notamment, ont pu rencontrer Cécile Marchal, responsable du CRB-Vigne et les experts Jean-Michel Boursiquot (Montpellier Sup Agro, UMR AGAP) et Thierry Lacombe (INRA Montpellier, UMR AGAP).Pau Roca, Jean-Michel Boursiquot, Luigi Bavaresco, Thierry Lacombe, Cécile Marchal et Alejandro Fuentes Espinoza.Ensemble pour la conservation et la sauvegarde du patrimoine génétique mondial de la vigne Les objectifs du CRB-Vigne sont également une priorité pour l’OIV, spécifiquement pour certaines actions entamées par la Commission Viticulture, à travers son groupe d’experts GENET. Pendant la visite, il a été évoqué le rôle indispensable que l’OIV doit jouer dans la conservation et la sauvegarde du patrimoine génétique de la vigne au niveau international. Dans ce sens, plusieurs points ont été évoqués :
- la sous-espèce Vitis vinifera subsp. Sylvestris ou Lambrusques. Cette sous-espèce, considérée l’ancêtre de Vitis vinifera, est classée sous-protection en France, car elle est considérée menacée. Cette menace de disparition est aussi présente dans d’autres pays. Le Lambrusque joue un rôle de réservoir de gènes qui est aujourd’hui crucial pour le maintien de la diversité biologique du vignoble mondial, notamment face à la pression de maladies et/ou son adaptation aux chocs climatiques à venir. L’OIV envisage ainsi de réaliser une action qui puisse favoriser le maintien et la préservation des Lambrusques au niveau international ;
- aussi dans l’objectif de préservation, l’OIV doit jouer un rôle essentiel dans le maintien/préservation des ressources documentaires de collections ampélographiques au niveau mondial. L’OIV envisage également une action qui va permettre d’adapter le format des ressources documentaires des collections ampélographiques aux nouvelles pratiques liées à la révolution numérique, afin de faciliter l’accès à tous de l’ensemble de ces connaissances, et offrir ainsi de nouvelles opportunités aux acteurs de la filière ;
- de grande importance, le dernier point évoqué a été l’action en cours du Groupe GENET sur les descripteurs OIV pour l’espèce Vitis. L’OIV historiquement leader technique et scientifique dans la description des variétés vitis réalise aujourd’hui une mise à jour de ces descripteurs.
19 déc 2019
En présence de la vice-présidente de l’OIV, Monika Christmann, le directeur général de l’OIV, Pau Roca, a présenté les vœux de l’Organisation aux représentants du Corps diplomatique, des administrations et des professionnels du secteur vitivinicole.Une première dans les nouveaux locaux de l’OIV, « un siège pratique et moderne pour une période transitoire. Le siège définitif ne devra pas rester simplement des bureaux pour un secrétariat, mais être la Maison Internationale du Monde de la Vigne et du Vin », selon Pau Roca.Le directeur général a rappelé l’importance de l’OIV : « une organisation qui réunit près de 750 experts lesquels sont d’une grande richesse de savoir et de sagesse, un collectif qui se renouvelle continuellement, à travers des délégations nationales prêtes à s’investir, à donner des réponses, à suggérer des solutions aux problèmes de la vigne et du vin ».« Nous pouvons être fiers d’avancer sur des projets tels que la réduction des intrants »Dans son discours, Pau Roca a cité le changement climatique et la nécessité d’assurer un commerce international sécurisé comme les enjeux les plus importants pour le vin et les produits issus de la vigne. « Lors de l’initiative 4 pour 1000 j’ai été très satisfait de voir combien de projets sont avancés et qui peuvent résoudre, en grande partie, la séquestration de carbone par les sols ».« Malheureusement, nos propres pays ont échoué à conclure un accord récemment lors de la COP25 à Madrid. Mais ceci ne veut pas dire que nous ne faisons pas de progrès concrets, notamment dans des groupes plus spécialisés. Par exemple, la semaine dernière, lors de l’initiative 4 pour 1000 j’ai été très satisfait de voir combien de projets sont avancés et qui peuvent résoudre, en grande partie, la séquestration de carbone par les sols », s’est réjoui le directeur. Dans ce sens, Pau Roca a souligné le rôle de l’OIV : « nous pouvons être fiers d’avancer sur des projets fixés cette année tels que la réduction des intrants, la caractérisation des sols par des techniques génétiques qui nous éclairent sur un nouvel univers inconnu de microorganismes, entre autres ».Par rapport au commerce international, le directeur a affirmé qu’il est fondamental que les relations commerciales restent fluides. « Il est regrettable que certains pays puissent mettre des barrières au commerce quand nous offrons à l’OIV des normes harmonisées, mais aussi quand de façon soudaine, certains Etats fixent des augmentations de tarifs à cause d’autres conflits qui n’ont aucun lien avec le vin : Le vin ne peut pas être une monnaie d’échange », a déclaré le directeur. L’OIV a fixé en 2019 une feuille de route conforme aux objectifs de développement durablePar d’importantes réunions internationales, comme celles du Codex Alimentarius, où l’Organisation a été confortée dans la représentativité intergouvernementale de l’activité vitivinicole, ou par sa présence dans plus de 50 manifestations qui se sont tenues sous son haut patronage, que ce soit des concours ou des symposiums scientifiques, « l’OIV a encore démontré la vitalité de son activité cette année », a fait remarquer le directeur. En octobre 2019, l’OIV a également approuvé lors de l’Assemblé générale son nouveau plan stratégique qui sera en vigueur de 2020 à 2024. Et pour cela « l’année 2020 se présente pour l’OIV comme une période pleine d’opportunités pour les projets que nous avons identifiés, tout à fait en adéquation avec les axes du Plan Stratégique, les principes et valeurs qui font que la viticulture est un phénomène présent dans tous les aspects : sociaux, économiques, culturels et environnementaux », a transmis le directeur. « Pour le 43ème Congrès mondial de la vigne et du vin, du 23 au 27 novembre 2020, nous nous rendrons au Chili, un des pays les plus actifs dans le commerce international du vin et investi sur la recherche des problèmes de résistance et de combat du dépérissement de la vigne » a informé Pau Roca.Après le discours de Pau Roca, les vœux de l’année de l’OIV ont permis de nombreux échanges qui ont été favorisés et agrémentés par une dégustation de Riesling allemand, tranquille et mousseaux, produit à l’Université de Geisenheim par la Vice-présidente Monika Christmann, ainsi que de vins suisses qui ont permis de rappeler le grand succès du 42ème Congrès de la Vigne et du Vin organisé à Genève en juillet 2019.
08 déc 2019
Cette publication reprend les fiches du Code International des Pratiques Œnologiques de l’OIV décrivant les procédés œnologiques (tableau 1 de l’Annexe I) et les composés œnologiques (tableau 2 de l’Annexe I) autorisés par le règlement délégué (UE) 2019/934. Faite dans les 21 langues de l’Union Européenne, la publication des fiches du Code International de l’OIV constitue une avancée très significative de la reconnaissance et de l’application des normes internationales et publiques de l’OIV pour la production du vin. Le Code International des Pratiques Œnologiques est publié annuellement par l’OIV. C’est une compilation de toutes les résolutions de l’OIV concernant les définitions des produits de la vigne et les pratiques œnologiques et de production admise pour chacun de produits.20 membres de l’OIV sont membres de l’Union Européenne qui dispose d’un statut d’observateur particulier auprès de l’OIV depuis 2017.
04 déc 2019
Pendant l’événement, la présidente a donné une conférence pour présenter le bilan global du secteur vitivinicole et a participé à la cérémonie de remise des prix de ce concours qui compte, depuis plusieurs années, sur le patronage de l’OIV.Avec Dmitry Kiselev (gauche) et Lev Oganesyants (droite) pendant la conférence.A cette occasion, Regina Vanderlinde a pu rencontrer les autorités russes. La présidente s’est entretenue avec le vice-ministre de l'Agriculture de la Fédération de Russie, Sergey Levin. Lors de cette réunion, Sergey Levin a confirmé que la Russie va réaliser les procédures nécessaires pour demander l’introduction de la langue russe comme langue officielle de l’OIV. En cas de confirmation, le russe deviendrait la sixième langue officielle de l’OIV avec le français, l’anglais, l’espagnol, l’allemand et l’italien.Regina Vanderlinde avec le vice-ministre Sergey Levin au Ministère de l’Agriculture russe.Regina Vanderlinde a aussi été reçue à l’Institut Scientifique d’Etat des Industries Brassicoles et Vinicoles de Russie par le directeur Lev Oganesyants et le vice-directeur Alexandre Panasyuk. La présidente de l'OIV avec Alexandre Panasyuk (gauche) et Lev Oganesyants (droite).La présidente a pu également rencontrer le nouveau président de l’Union des œnologues et des viticulteurs russes Dmitry Kiselev, qui est aussi le directeur général l’agence de presse internationale d’Etat russe « Rossiya Segodnya ».Regina Vanderlinde se réjouit des importants échanges qui ont eu lieu au cours de ces réunions, où les autorités russes ont manifesté un fort désir d’investir dans le développement du secteur vitivinicole du pays, ainsi que d’augmenter significativement la participation de la Fédération aux travaux de l’OIV.
24 nov 2019
À cette occasion, Pau Roca a expliqué comment l’OIV a joué depuis sa création un rôle fondamental pour la régulation du secteur : « l’harmonisation des définitions, des pratiques œnologiques, des méthodes d’analyse, des étiquetages, etc. a permis que nous jouions plus ou moins tous avec les mêmes règles du jeu. Même certains pays n'adhérant pas l’OIV suivent ses normes et, les membres y font référence dans le contexte d'accords commerciaux spécifiques.Selon lui cependant, ce secteur est bien plus réglementé que d’autres : « ce qui n’entrave pas le développement du commerce mondial, le vin étant un produit très internationalisé ; presque une bouteille sur deux est amenée à traverser une frontière ».Dans ce contexte, pour Pau Roca, « la densité normative est le fruit d’une maturité historique et d’une évolution ». L’OIV, « contrairement à d’autres organismes dont les normes se limitent essentiellement à la sécurité alimentaire, traite de questions relatives à l’intégrité, à l’identité, à l’origine, etc., qui s’avèrent très importantes dans le secteur du vin. De fait, nous avons avec le vin été les précurseurs de nombreuses normes sur la qualité »."Nous devons apporter une réponse à ces millions de producteurs qui ne souhaitent pas, pas plus que nous consommateurs, délocaliser leurs productions. Trois concepts sont à la base du terroir", Pau Roca.En ce sens, le directeur estime que les conditions normatives confèrent au secteur une structure différenciée, dont la caractéristique ou le symptôme le plus perceptible est la fragmentation et la grande diversité des acteurs. Bien que cela complique l’existence de marques globales, « les marques devant rivaliser avec l’origine en termes de notoriété », a-t-il souligné, « dans un système de petites dimensions, de grands investissements et de rentabilité immédiate réduite, cela ne constitue pas toujours un désavantage ». Le directeur de l’OIV a argumenté en ce sens que « cette structure économique constituera un modèle de résilience, qui résiste par l’innovation et l’adaptation à la crise inexorable émanant du réchauffement global ».Face au changement climatique, Pau Roca pense que « les économistes devraient étudier davantage l'écologie, comprendre comment fonctionnent certaines lois ou principes de base au sein des écosystèmes terrestres ou marins ».La durabilité, une nouvelle valeur de croissanceLe directeur général de l’OIV prône « qu’une économie attentive à cette réalité est certainement bien plus judicieuse. La croissance constituera un indice de transition, mais la finalité doit être la biosphère ; l’objectif de l’humanité est de préserver ce bien fini qu’est la Terre et qui, comme tel, constitue notre unique capital de référence ». Dans cette optique, son intervention s’est attardée sur le nouveau plan stratégique de l’OIV pour les cinq prochaines années (2020-2024). Ce plan stratégique contient six grands axes desquels découlent les objectifs à atteindre, « et nous avons eu pour dessein de nous aligner avec les Objectifs de développement durable des Nations unies. Si nous parvenons à mener à bien notre plan stratégique, nous pourrons dire que le secteur du vin aura rempli dans une plus ou moins grande mesure 13 des 17 ODD », a déclaré Pau Roca. Trois axes sont centrés sur la durabilité et l’adaptation au changement climatique, sans laisser pour compte les efforts de mitigation ; en effet, comme l’a exprimé Pau Roca, « nous devons apporter une réponse à ces millions de producteurs qui ne souhaitent pas, pas plus que nous consommateurs, délocaliser leurs productions. Trois concepts sont à la base du terroir : le facteur climatique, visiblement muable et apparemment hors de contrôle à l’heure actuelle, le sol, également soumis au climat, et le matériel végétal et la grande diversité génétique offerte par le genre Vitis, le travail de l’homme et la tradition. Note : Le nouveau plan stratégique de l’OIV sera disponible en ligne dans les prochaines semaines
19 nov 2019
Le 15 novembre 2019, plus de 200 participants ont assisté à la 7ème édition de Wine Track® organisée à Reims (France).Placé sous le haut patronage de l’OIV, ce colloque, organisé conjointement par la Société des Experts Chimistes de France (SECF) et l’Union des Œnologues de France - section Champagne-Ardennes, a été une occasion unique d’échanges entre scientifiques sur les techniques et outils qui concourent à assurer la traçabilité et garantir l’authenticité des produits vinicoles, notamment vis‐à‐vis des contrefaçons et de la fraude.Par ailleurs, le coordinateur scientifique de l’OIV, Jean-Claude Ruf, a indiqué que l’OIV est depuis longtemps engagée dans ces domaines notamment à travers l’établissement de normes internationales relatives :
- à la définition des produits;
- aux pratiques œnologiques et notamment la prise en compte de la sécurité du consommateur et du maintien du caractère authentique des vins et ses qualités organoleptiques;
- aux règles d’étiquetage;
- à la mise en place de normes de traçabilité;
- à la mise en place de normes analytiques afin de contrôler cette traçabilité et cette origine.
12 nov 2019
Pau Roca, directeur général de l’OIV, a inauguré la conférence « Vin, environnement et société » le mardi 5 novembre 2019, en articulant son intervention autour des « enjeux écologiques à l’échelle mondiale et leur impact sur la société ».Suzanne Mustacich, rédactrice pour Wine Spectator, était la maîtresse de cérémonie de cette conférence, à laquelle a également participé le Pr. Dr. Hans Schultz, expert à l’OIV et président du Groupe ENVIRO (président également de l’université Hochschule Geisenheim). Le discours de ce dernier a porté sur « l’impact du réchauffement climatique sur la production vinicole ». Le panel d’intervenant se composait également d’Eric Giraud-Héraud, directeur de recherche à l’ISVV de l’université de Bordeaux et à l’INRA, qui a choisi d’évoquer la question de « l’impact de la demande par les consommateurs de vins ‘propres et écologiques’ ».Suzanne Mustacich, Pau Roca, Hans Schultz, Eric Giraud-Héraud.Un autre panel de discussion (photo ci-dessous) a succédé à leurs interventions, composé de Jeremy Cukierman MW, directeur de KEDGE Wine & Spirit Academy ; de Caroline Feely, directrice de Château Feely ; de Caroline Frey, propriétaire et œnologue au Château La Lagune ; et de Kim Forsberg, directrice du développement durable chez Vingruppen (Suède).Au cœur des débats, il a été question de nouveaux modes de culture biologiques et éco-responsables, ainsi que d’emballages et de systèmes de transport plus durables.À propos du réseau « Great Wine Capitals »Le réseau « Great Wine Capitals » rassemble dix grandes métropoles internationales, situées dans les hémisphères nord et sud, qui partagent un même atout économique et culturel : leurs régions viticoles mondialement reconnues.Ce réseau ambitionne de faire fusionner le monde ‘ancien’ du vin avec le ‘nouveau’, par la promotion des échanges touristiques, pédagogiques et commerciaux entre de prestigieuses régions comme Adélaïde, Bilbao, Bordeaux, Lausanne, Mayence, Mendoza, Porto, San Francisco, Valparaiso et Vérone.Fondé en 1999, le réseau a développé et introduit de nombreux projets, initiatives et programmes, dans l’objectif d’atteindre l’excellence dans les domaines du tourisme, des services commerciaux et de l’éducation au sein de l’alliance internationale de ses régions viticoles de renom.
03 nov 2019
Le CST, après avoir salué le travail de Jean-Luc Berger qui a assumé cette fonction avec compétence ces dernières années, a été unanime au regard d’un parcours professionnel répondant aux exigences d’une fonction essentielle pour l’examen des ouvrages scientifiques et techniques présentés aux Prix de l’OIV.Ingénieur en œnologie et viticulture (Haute Ecole de Changins en Suisse), Richard Pfister a obtenu le prix de l’Union Suisse des Œnologues pour sa thèse en analyse sensorielle « La méthodologie de l’olfactionen parfumerie : Possibilités d’application à l’analyse sensorielle des vins ».Après une expérience en tant qu’œnologue en Espagne et plusieurs années dans la création de parfums, il est devenu œnologue conseil international et consultant sensoriel. Il enseigne également dans plusieurs Hautes Ecoles (Changins en Suisse, Université de Bordeaux ISVV et Ecole d’Ingénieur de Dijon Agrosup en France).Bienvenue à Richard Pfister parmi les membres du Jury des Prix de l’OIV !Richard Pfister est également expert juré international de dégustation, observateur OIV et Vinofed, évaluateur de livres présentés aux Prix de l’OIV, conférencier et formateur à travers le monde, et depuis 2006 rédacteur d’« Objectif » (une revue suisse en viticulture, œnologie et arboriculture) et auteur d’articles œnologiques dans plusieurs revues françaises, suisses, italiennes.Il est aussi membre du Conseil de la Fondation Internationale des Sciences et Culture de la Vigne et du Vin à Aigle en Suisse depuis 2013.Son ouvrage « Les Parfums du Vin », livre d’analyse sensorielle, a obtenu le Prix de l’OIV en 2015.Bienvenue à Richard Pfister parmi les membres du Jury des Prix de l’OIV !
30 oct 2019
Lors de la conférence de presse qui s'est tenue au siège de l'Organisation internationale de la vigne et du vin, le directeur général de l'OIV, Pau Roca, a présenté les premières estimations de la production mondiale de vin en 2019. Communiqué de PressePrésentation PPT [EN]Production de vin 2019 - premières estimations
14 oct 2019
Accueillie par S. E. M. Juan Salazar Sparks, la Cérémonie de remise des Prix de l’OIV 2019 s’est déroulée dans les salons de l’Ambassade du Chili à Paris, en présence de nombreux représentants du Corps Diplomatique, de la Présidente de l’OIV Mme Régina Vanderlinde, du Directeur général de l’OIV M. Pau Roca, de la Présidente et du Secrétaire scientifique du Jury des Prix Mme Azélina Jaboulet Vercherre et M. Jean-Luc Berger.De Gauche à droite : Pau Roca, Julien de Beaumarchais de Rothschild (Vice-Président du Conseil d’Administration Baron Philippe de Rothschild), Regina Vanderlinde, S. E. M. Juan Salazar Sparks, Azélina Jaboulet Vercherre, Jean-Luc Berger.La notoriété et le prestige de cette distinction internationale sont encore cette année, confirmés par le haut niveau qualitatif du Palmarès 2019 dans chacun des domaines représentés : scientifique et technique, littéraire, historique, artistique, pour les 11 Prix et 9 Mentions spéciales attribuées par le Jury International de l’OIV.Communiqué de presse complet
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