La signature d'un nouveau protocole d'accord renforce les liens entre les deux organisations afin de faire face aux nouveaux défis du système agroalimentaire.
Elles collaborent depuis 2006 dans différents domaines d'intérêt mutuel et considèrent qu'il est nécessaire d'intensifier leur coopération pour faire face aux nouveaux défis du système agroalimentaire. Cette collaboration s'est récemment traduite par la mise en œuvre conjointe d'une session scientifique lors de la COP 27 sur la résilience de la viticulture au changement climatique en Méditerranée.
La culture de la vigne, tant pour la production de raisins destinés à la vinification que pour la consommation fraîche, se pratique principalement dans les pays du monde au climat méditerranéen, au-delà des pays riverains de la mer Méditerranée.
Ils partageront leur confiance dans les connaissances scientifico-techniques comme base pour la formulation de politiques et de stratégies qui favorisent le développement durable dans leurs domaines correspondants. Des domaines d'intérêt tels que les systèmes alimentaires durables, la sécurité alimentaire, l'œnotourisme, le développement des zones rurales, la compétitivité, la biodiversité, la qualité, les nouvelles technologies, l'utilisation efficace des ressources naturelles, la réduction de l'impact environnemental de l'activité agroalimentaire, la conservation des écosystèmes viticoles, la résilience, l'inclusion, la réglementation intelligente et la numérisation, entre autres.
Alors que, en particulier, ils partagent la préoccupation de l'impact du changement climatique et la nécessité d'adopter des mesures d'atténuation et d'adaptation pour assurer la viabilité des zones les plus vulnérables, dont beaucoup dans les régions à climat méditerranéen.
Enfin, ils partagent également une certaine flexibilité pour adapter leurs activités aux besoins de leurs pays membres et pour promouvoir la participation de tous les acteurs des systèmes agroalimentaires.
